Dessin de couverture : Mathieu Sapin
Découvrez un aperçu du nouveau numéro d’Émile !
Vous retrouverez dans cette édition un focus sur les mutations de l’école et du métier d’enseignant, les interviews de deux grands écrivains - Patrick Chamoiseau et Leïla Slimani - mais aussi deux grands dossiers. Le premier s’attache à analyser les conséquences du Brexit sur la société britannique et sur la construction européenne. Nous avons interviewé le secrétaire d’État français chargé des Affaires européennes, l’ambassadeur du Royaume-Uni à Paris et deux personnalités britanniques - l’une pour et l’autre contre le Brexit. Nous avons également recueilli l’analyse de plusieurs chercheurs spécialistes de l’Europe et le ressenti de la communauté française à Londres.
Le second dossier est consacré au streaming audiovisuel et à la guerre économique que se livrent les géants du secteur et les chaînes de télévision nationales. Découvrez notre grande enquête sur le sujet puis partez à la rencontre d’Alumni qui occupent des postes clés dans le domaine : au CNC, à Canal+ ou encore chez Netflix. Enfin, dans notre rubrique “Business” nous avons voulu mettre en avant le parcours inspirant de jeunes entrepreneurs passés par Sciences Po.
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Le secteur de l’éducation et de l’enseignement supérieur a été profondément bouleversé par la crise sanitaire. Pendant le premier confinement, les cours ont dû s’organiser à distance en faisant appel à de nouveaux outils, notamment ceux développés par le secteur de l’EdTech (terme qui désigne les nouvelles technologies mises au service de l’éducation et de la formation). Pour connaître les enjeux de cet écosystème, Émile s’est entretenu avec Rémy Challe, directeur général d’EdTech France.
« Je suis un homme de confinement, j’habite mon imaginaire »
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À la crise sanitaire inédite qui impacte profondément les institutions scolaires, s’ajoute la menace terroriste accrue depuis l’assassinat de Samuel Paty le 16 octobre dernier. Comment ces événements et leur cumul impactent-ils le quotidien des élèves et des enseignants ? De quelle manière est-il possible d’aborder les questions relatives à la liberté d’expression en cours ? Existe-t-il des sujets tabous ? Émile a recueilli le témoignage de professeurs de lycée et d’enseignants à Sciences Po.
« Plus un être humain parle de langues, plus il gagne en humanité »
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Le 31 janvier 2020, le Royaume-Uni a officiellement quitté l’Union Européenne. Presque un an après, aucun accord n’a encore été trouvé entre les deux parties qui ne parviennent décidément pas à être sur la même longueur d’ondes. Dans ce dossier, nous avons voulu comprendre ce que représentait, pour l’Union européenne, le départ du Royaume-Uni. Nous sommes également partis à la rencontre de différentes personnalités britanniques et françaises pour avoir leur vision sur l’avenir du Royaume-Uni et de l’Europe après le Brexit.
« Nous avons toujours respecté le vote britannique, mais ce n’est pas au projet européen d’en payer le prix »
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Kate Mosse, anti-Brexit : « C’est un chapitre sombre de notre histoire »
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Charles Moore, pro-Brexit : « Le Brexit nous permet de retrouver notre souveraineté »
La victoire du « Leave », lors du référendum du 23 juin 2016, a constitué un véritable choc pour les membres de l’UE. Quatre ans plus tard, quelles sont les conséquences réelles du Brexit sur l’unité européenne ? Émile a mené l’enquête et dresse les contours de l’Europe de demain.
Retrait du drapeau britannique le jour du Brexit, le 31 janvier 2020, dans le bâtiment du Conseil européen, à Bruxelles.
Émile est parti à la rencontre de plusieurs Alumni français qui vivent au Royaume-Uni.
Maxime Holder (promo 94) est l’un d’entre eux. Installé à Londres depuis une dizaine d’années, il nous raconte l’impact du Brexit sur son activité à la tête des boulangeries PAUL.
À l’incertitude générée par les négociations interminables entre le Royaume-Uni et l’UE s’est ajoutée l’épidémie de Covid-19…
Crédit photo : Nicolas Matheus/PAUL
La vidéo à la demande ne s’est pas bornée à bouleverser les habitudes des spectateurs français : elle est en passe de redéfinir profondément les contours de l’industrie du divertissement. L’épidémie de Covid-19 et sa vague de confinements, réduisant l’offre culturelle au strict minimum, n’ont fait qu’amplifier le phénomène. Qu’est-ce qui pourrait bien arrêter cette lame de fond venue tout droit d’outre-Atlantique ? Émile a mené l’enquête.
Source : Netflix
Illustration : Laurent Bazart
Source : CNC
Illustration : Laurent Bazart
« Nous ne proposons pas un simple catalogue de contenus, mais un point de vue sur le monde »
Brice Mondoloni, responsable éditorial des séries étrangères chez Canal+
« Netflix, ce sont des opportunités, mais aussi des méthodes de travail différentes »
Damien Couvreur, directeur des séries originales françaises chez Netflix
Le développement des plateformes de streaming vidéo a révélé de nouvelles pratiques, notamment le visionnage à la chaîne de plusieurs épisodes de séries – le fameux « binge-watching ». Quel pourrait être l’impact de la multiplication des services de streaming sur certains publics ? Peut-on parler d’addiction ? Comme éduquer les plus jeunes à une consommation raisonnée des contenus numériques ? Analyse de Serge Tisseron, psychiatre, psychanalyste et directeur de recherches à l’Université Paris Nanterre.
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Si Sciences Po ne propose pas encore de formation de brasseur de bière, cela n’a pas empêché trois camarades de la promo 2011 de se lancer dans l’aventure. Émile est parti à la rencontre de ces trois alumni qui ont décidé d’ouvrir leur propre brasserie 100% made in France.
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Pour les jeunes âgés de moins de 35 ans, l'accès à la propriété est particulièrement difficile. Pour briser ce plafond de pierre, Saskia Fiszel et Keyvan Nilforoushan ont fondé Virgil, une start-up qui accompagne les jeunes dans leur investissement immobilier. Alumna de Sciences Po, entrepreneure engagée, Saskia Fiszel (promo 2011) raconte à Émile l'épopée de Virgil.
Crédit photo : Karina Esher/ Societer
Orienter les dirigeants d’entreprises – des grands groupes du CAC 40/ SBF 120 aux start-up –vers un leadership plus humain, plus environnemental et plus sociétal, c’est l’ambition de la maison de conseil de Societer. Émile est allé à la rencontre de ses trois cofondatrices.
Tous ces articles (et bien d’autres) sont à retrouver dans le numéro 20 d'Émile, disponible fin décembre 2020.
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