Osborne Clarke : L’agilité au service des enjeux sociétaux

Osborne Clarke : L’agilité au service des enjeux sociétaux

[En partenariat avec Osborne Clarke]

En 2013, Catherine Olive (promo 90) et Maxime Pigeon créent, avec deux autres associées, le bureau parisien du cabinet international Osborne Clarke. Une aventure humaine et entrepreneuriale couronnée d'un succès grandissant.

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Les chiffres clés d’Osborne Clarke

  • 2013 : année de création du bureau français

  • 60 avocats

  • 14 associés

  • 25 bureaux dans le monde

  • secteurs clés : Technologie Media Com, Retail et Biens de Consommation, Immobilier et Infrastructure, Sciences de la Vie et Santé, Transports, Énergie, Services Financiers, Recrutement et Externalisation. 


De 12, vous êtes passés à une équipe de 80. Comment expliquer cette forte croissance ?

Catherine Olive : Il s’agit plutôt d’une croissance raisonnée car nous n’avons jamais été dans la course à la taille ou au chiffre d’affaires. C’est le fruit de la construction réfléchie d’un projet humain et professionnel, avec une offre de services que nous avons enrichie au fur et mesure des années et des rencontres, et la croissance naturelle des pratiques présentes dès la création du cabinet.   

Maxime Pigeon : Au début, nous étions quatre associés fondateurs – trois femmes et un homme. Nous venions de cabinets prestigieux et nous nous sommes retrouvés en mode « start-up ». Mais nous étions tous animés par la passion du métier et l’ambition de créer une structure un peu différente. Nous avons eu la chance d’intégrer une maison internationale qui se démarque sensiblement des cabinets anglais traditionnels. Notre structure demandait (et demande encore) une dynamique entrepreneuriale forte dans la mesure où chaque bureau est juridiquement et financièrement indépendant. Nous avons d’un côté la force de frappe d’un réseau et de l’autre, l’autonomie dans la gestion.

« C’est le fruit de la construction réfléchie d’un projet humain et professionnel. »
— Catherine Olive

Les expertises d’Osborne Clarke à Paris ? 

C. O. : Notre développement s’est d’abord organisé autour de trois pratiques : IP/IT et Data, Corporate M&A et Droit Social. Très vite, se sont adjointes les expertises classiques du Droit des Affaires (concurrence, immobilier, santé, droit public, droit pénal et éthique des affaires) jusqu'à, tout récemment, celle des Procédures Collectives. Et la dynamique de croissance continue… 

M. P. : Nous accompagnons aussi bien des PME que des grands clients français et des groupes internationaux sur des projets stimulants : piloter la réorganisation d’un groupe sur 48 pays, assister un acteur majeur de la grande distribution sur un partenariat digital, accompagner un leader européen des objets connectés sur l’acquisition d’une pépite française du secteur ou encore, gérer les aspects sociaux de la fusion de deux leaders du secteur des transports.

Les nouvelles technologies sont au cœur de l'ADN du cabinet. Expliquez-nous. 

C. O. : Le secteur des technologies et l’innovation ont été, depuis plus de 20 ans, un axe fort du développement d’Osborne Clarke qui a créé son premier bureau dans la Silicon Valley en 2000. Nous sommes engagés dans tous les sujets de transformation digitale. Nous poursuivons d’ailleurs notre propre transformation. La quasi-totalité de nos opérations sont désormais signées de manière électronique. Une plateforme a été développée pour gérer les projets complexes et délivrer nos conclusions de manière innovante et plus « ergonomique ». Et un outil de diagnostic cybersécurité, développé par l’équipe de Paris, est actuellement en phase de test.

M. P. : Plus globalement, sur les questions de transformation, nous avons une approche collective et transversale où nous combinons nos expertises. Notre stratégie « 3D » propose une large gamme de conseils juridiques autour des trois « drivers » des grandes mutations sociétales : Digitalisation, Décarbonation et Dynamiques Urbaines.

« Sur les questions de transformation, nous avons une approche collective et transversale où nous combinons nos expertises. »
— Maxime Pigeon

Les défis à venir ?

M. P. : Continuer à grandir tout en conservant nos valeurs humaines et cela, dans une belle ambiance de travail faite de perspectives de formation et d’évolution pour nos équipes.

C. O. : Conserver et régénérer le « feu sacré ». Nous voulons inciter chacun à s’approprier le cabinet en apportant ses idées, sa personnalité et ses convictions et à être acteur du développement de la maison commune. 

Les atouts des étudiants de Sciences Po ?

M. P. : La culture générale et l'ouverture d’esprit. Être un bon avocat ne suffit pas, il faut aussi avoir développé des qualités humaines et un vrai savoir-être.

C. O. : L’agilité, la curiosité et la capacité à appréhender et gérer la complexité. L’avocat doit être un véritable partenaire de ses clients, comprendre leurs enjeux et s’y adapter pour délivrer un service pertinent et à valeur ajoutée.  

Publi-reportage initialement publié dans la rubrique “Trajectoires” du numéro 22 d’Émile, paru en juillet 2021.



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