Vingt ans jour pour jour après l’assassinat du préfet Claude Erignac en Corse, Emmanuel Macron a effectué une première visite très attendue sur l'île de beauté. Émile vous propose une sélection de tweets de Sciences Po qui ont suivi et commenté ce déplacement présidentiel.
Le 6 février 1998, il y a 20 ans, Claude #Erignac, préfet de la Corse-du-Sud depuis janvier 1996, est assassiné à Ajaccio. Depuis la Seconde Guerre mondiale, c’est la première fois qu’un préfet est tué dans l’exercice de ses fonctions. pic.twitter.com/PIsOvF4FGr
— Antonin Cavelier (@Anton1Cavelier) February 6, 2018
À l’occasion du déplacement du Président de la République en #Corse, c’est la République française toute entière, dans son unité et son indivisibilité, qui rend hommage à la mémoire du Préfet Claude #Érignac assassiné à Ajaccio il y a 20 ans.
— Alain Juppé (@alainjuppe) February 6, 2018
Très émouvant hommage du @Prefet53 à Claude #Erignac, Prefet de Corse, assassiné en 1998.
— Guillaume GAROT (@guillaumegarot) February 5, 2018
Ne jamais renoncer à l’état de droit. Ne jamais abdiquer les principes de notre République. pic.twitter.com/5hGhhqYUat
Place Claude Erignac, piazza Claude Erignac, en français et en corse pic.twitter.com/KWXpM2VYZl
— Ariane Chemin (@ArianeChemin) February 6, 2018
"Les nationalistes ne sont pas propriétaires de la Corse. La République francaise ne peut accepter que nous ayons une région identitariste." #TV5MondePolitique
— N. Dupont-Aignan (@dupontaignan) February 6, 2018
#Corse. Je propose une méthode :
— Guillaume Larrivé (@GLarrive) February 5, 2018
✅appliquer et évaluer le statut actuel, qui vient d'entrer en vigueur,
✅d'ici 2021, réfléchir à un statut d'autonomie constitutionnelle de la Corse,
✅dans le respect des principes essentiels de la République française. pic.twitter.com/wJbrwZ1X1b
Corse : il y a une ligne rouge simple, la Corse est et restera française. Il faut respecter l'attachement à l'identité corse mais son intégration dans la République n'est pas une question. Pour le reste, il faut être souples sur des sujets très concrets. #Les4V
— Laurent Wauquiez (@laurentwauquiez) February 6, 2018
#Corse : l'indépendance n'est ni souhaitable, ni viable. Le statut actuel est archaïque. Il faut faire un vrai pas vers l'autonomie.
— Alain Duhamel (@AlainDuhamel) February 5, 2018
Entretien pour @lemondefr : "La victoire des nationalistes couronne quatre décennies de reculades de la droite et de la gauche" https://t.co/iK0vGTk4vQ #Corse
— J-P. Chevènement (@chevenement) February 5, 2018
Les nationalistes vont adorer la leçon d'histoire et d'identité corse du Président... #Corse #Macron
— David Abiker (@DavidAbiker) February 7, 2018
Introduire une spécificité corse dans la Constitution est une faute. La République est une et indivisible #ITVJ-1 @ygoosz
— Eric Ciotti (@ECiotti) February 7, 2018
Le Président a fixé un cadre et un cap clair : faire réussir la #Corse dans la République.
— Benjamin Griveaux (@BGriveaux) February 8, 2018
Il y a les questions institutionnelles, mais il faut travailler pour la jeunesse corse sur l’emploi, le développement et la qualité de vie. #Les4V pic.twitter.com/W3YQYrcjqX
Mentionner la #Corse dans la Constitution c’est tout à la fois reconnaître la spécificité et l’identité corse et inscrire pleinement l’avenir de la Corse dans la République française. https://t.co/PV1lvbO4no
— François de Rugy (@FdeRugy) February 7, 2018
Le chef de l’Etat s’oppose cependant à la co-officialité de la langue corse aux côtés du français sur l’île, ce qui constituait une revendication importante des élus nationalistes corses... https://t.co/lxm8kmI5jI
— Mehdi Thomas ALLAL (@MehdiAllal) February 7, 2018
