L’identité est un thème désormais omniprésent dans les débats politiques. Propulsée sur le devant de la scène par Nicolas Sarkozy, la réflexion sur « l’identité nationale » semble être aujourd’hui le pré carré de la droite, voire de l’extrême-droite ; il s’agit pourtant d’une notion apparue d’abord à gauche. Émile a proposé à Natacha Polony, François de Rugy et Vincent Martigny de débattre de cette question.
D’eux, on ne sait pas grand-chose finalement. Leur rôle est de conseiller, dans l’ombre, le président de la République. Leurs attributions évoluent souvent dans le temps, confrontées à la dure et éprouvante réalité politique et présidentielle. Émile dresse le portrait de quatre conseillers, qui sont restés fidèles à François Hollande jusqu’à la fin de son mandat, et qui ont eu des dossiers importants à gérer tout au long de ce quinquennat. Parler d’eux, c’est une façon de rentrer dans le cercle restreint du pouvoir élyséen.
D’eux, on ne sait pas grand-chose finalement. Leur rôle est de conseiller, dans l’ombre, le président de la République. Leurs attributions évoluent souvent dans le temps, confrontées à la dure et éprouvante réalité politique et présidentielle. Émile dresse le portrait de quatre conseillers, qui sont restés fidèles à François Hollande jusqu’à la fin de son mandat, et qui ont eu des dossiers importants à gérer tout au long de ce quinquennat. Parler d’eux, c’est une façon de rentrer dans le cercle restreint du pouvoir élyséen.
D’eux, on ne sait pas grand-chose finalement. Leur rôle est de conseiller, dans l’ombre, le président de la République. Leurs attributions évoluent souvent dans le temps, confrontées à la dure et éprouvante réalité politique et présidentielle. Émile dresse le portrait de quatre conseillers, qui sont restés fidèles à François Hollande jusqu’à la fin de son mandat, et qui ont eu des dossiers importants à gérer tout au long de ce quinquennat. Parler d’eux, c’est une façon de rentrer dans le cercle restreint du pouvoir élyséen.
D’eux, on ne sait pas grand-chose finalement. Leur rôle est de conseiller, dans l’ombre, le président de la République. Leurs attributions évoluent souvent dans le temps, confrontées à la dure et éprouvante réalité politique et présidentielle. Émile dresse le portrait de quatre conseillers, qui sont restés fidèles à François Hollande jusqu’à la fin de son mandat, et qui ont eu des dossiers importants à gérer tout au long de ce quinquennat. Parler d’eux, c’est une façon de rentrer dans le cercle restreint du pouvoir élyséen.
Cette semaine, notre plume de gauche, John Palacin, répond à Erwan le Noan qui dans sa dernière lettre qualifiait l'élection présidentielle de "gâchis".
A moins de dix jours du premier tour du scrutin, les écarts se resserrent entre les quatre principaux candidats dans les intentions de vote. Si l'on tient compte de la marge d'erreur, impossible pour les observateurs de déterminer les finalistes. Situation inédite et déroutante que nous détailles notre infiltré.
L'élection présidentielle se présente sous le signe de l'indécision et de la fragilité de l'électorat. Luc Rouban, directeur de recherches CNRS au CEVIPOF, considère même la présidentielle 2017 comme une élection par défaut. Il détaille sa thèse, chiffres à l'appui, dans un article initialement publié sur le site The Conversation.
Ils ont l'occasion de voter pour la première fois, mais se déplaceront-ils jusqu'aux urnes ? Pour qui envisagent-ils de voter ? Que pensent-ils de la scène politique française ? Anne Muxel, directrice de recherches CNRS en science politique au CEVIPOF, nous offre une photographie détaillée des "primo-votants" de 2017, initialement publiée sur le site The conversation.
Jean-Luc Mélenchon a fait une remontée importante dans les sondages depuis sa participation au premier débat entre les cinq candidats favoris à la présidentielle. Réactions et critiques à l'encontre de sa personnalité ou de son programme fusent de toute part. Qu'en pensent les Sciences Po sur les réseaux sociaux ?
Les candidats à l'élection présidentielle ont dévoilé cette semaine leurs affiches de campagne. Émile est allé interroger Clément Viktorovitch, docteur en science politique, spécialiste de la communication politique et maître de conférence à Sciences Po. Il a tenté de décrypter pour nous les messages qui se cachent derrière ces supports de communication.
Anne-Sophie Beauvais, directrice générale de Sciences Po Alumni et ancienne conseillère en cabinet ministériel, s'interroge dans cette tribune sur les raisons du ralliement d'une cinquantaine de conseillers de droite à Macron. Selon elle, leur démarche renvoie aussi à un problème affectant leur famille politique d’origine : le parti majoritaire de droite (hier l’UMP, aujourd’hui Les Républicains), bien plus encore que le parti socialiste, ne sait pas promouvoir en politique de jeunes générations.
"On ne sort de l'ambiguïté qu'à son détriment". La maxime bien connue du Cardinal de Retz servait de viatique à Francois Mitterrand. Emmanuel Macron aurait dû s'en souvenir.
Benoît Thieulin, ex-président du Conseil national du numérique, fondateur de La Netscouade et co-doyen de l'École du management et de l'innovation de Sciences Po, nous livre son analyse sur la campagne numérique des candidats à l’élection présidentielle.
Que pensent les étudiants de Sciences Po des thématiques abordées lors de la campagne ? Quelles sont les questions oubliées par les candidats ? Emile a installé sa caméra en péniche pour récolter l'avis des élèves de la rue St Guillaume.
Ce mardi avait lieu le premier débat qui rassemblait l'ensemble des 11 candidats à l'élection présidentielle. Entre foire d'empoigne et envolées lyriques, ce fut un moment intense qui marquera sans doute la campagne. Qu'en ont pensé les Sciences Po ? La réponse en 10 tweets.
Les chefs de guerre ne se reposent jamais. Toujours ils attendent de gagner de nouvelles positions, de nouveaux territoires.